La Dame d’Enghein

La Dame d'"Enghein

Début 2017

La DAME d’Enghien, c’est ainsi que je nommerai ma cliente qui vient de prendre sa retraite avec une certaine appréhension.
En effet, désormais, elle va être obligée de réduire grandement son train de vie.

Elle a fini, à peine, d’emménager dans son nouvel appartement à Enghien avec un loyer de 1500 € / mois, que le propriétaire décède.
Le notaire contacte ma cliente pour la prévenir que les héritiers veulent vendre l’appartement.

Elle prend sa retraite, avec une grosse diminution de salaire.
Ses revenus actuels ne lui permettent plus de payer un loyer aussi élevé. Cet appartement était le RÊVE de sa vie…

J’entends d’ici, le discours de certaines personnes qui pourraient critiquer ce loyer aussi élevé, mais la DAME d’Enghien a suffisamment trimé plus de 40 h par semaine, et ce, depuis l’âge de 14 ans pour profiter de ce salaire de directrice qui finalement a chuté énormément….

Elle était donc désespérée à l’idée de devoir quitter cet appartement dans lequel, elle n’était installée que depuis quelques mois et dont elle s’était totalement éprise…
Un « truc de fou » c’est son expression favorite…

C’est un « truc de fou » d’avoir pu trouver un appart de plus de 100 m² à Enghien avec un jardin paysagé privé de 1000 m²…
Rien que pour moi !!!
Avec des sapins, des fleurs, ici et là, sans vis-à-vis, un petit bassin et des poissons…
Un « truc de fou » …
Oui oui !!!
Je sais !!!
Je me répète…

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Christiane, mes découvertes

Bonjour Béatrice

Voici mes démarches et prises de conscience, que j’appelle découvertes.

DÉCOUVERTE 1

LE PREMIER BONIMENTEUR DANS MA VIE, C’ÉTAIT MON PÈRE.

Découverte 1

C’est lui, Edmond, qui le premier était faiseur d’illusions, toujours très élégant, racontant de belles histoires qu’il ne réaliserait jamais.

C’est Edmond qui est entré dans la vie de ma mère pendant l’absence de Michel, par ses belles paroles, il lui a fait « oublier », l’amour de sa vie, le bon danseur, l’homme de valeurs, l’homme de Bien.

Et la déception de ma mère a été forte, car si elle aimait Michel, elle dut aussi être très amoureuse de mon père, plus tard, elle lui disait souvent, « Toi, c’est du vent, rien que du vent »

Voilà donc le grand bonimenteur, bateleur élégant, artiste des mots, mais fait de vent, de promesses non tenues, qui a supplanté l’homme de cœur et de bien.

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