Qui suis-je ? Dame Chapelle

BÉATRICE CHAPELLE
PSY COACH CLAIR-VOYANTE

Qui suis-je ? Dame Chapelle .En fait, je m’appelle Béatrice CHAPELLE et ce n’est pas un HASARD !
Mon nom de jeune fille est MONNAIE !

Je suis née le 9 décembre 1957 à Paris, à l’hôpital de la Pitié. Fait intéressant, le 9 décembre 1905, le Sénat adoptait la loi de séparation de l’Église et de l’État. Étrange, non ?

Mon deuxième prénom est Évangile. Enfant abandonnée, l’assistance publique m’a élevée. Ma première assistante sociale, Mme Monnier, a été suivie de Mme Église.

Parmi les différents établissements où j’ai été placée à 9 ans, celui de la Ville du Dorat reste le plus marquant. C’est là que j’ai découvert la religion !

Le rôle de la religion dans mon histoire


La religion prétendait que mes dons de clairvoyance manifestaient la présence du diable en moi.

Aussi, les religieuses nous emmenaient à la chapelle quatre fois par jour pour prier, sans nous laisser le choix. De plus, je devais prendre du Gardénal (psychotrope), sans oublier les autres pénitences.

Ensuite, ma vie a suivi un chemin initiatique pour que je puisse aujourd’hui partager ce don de clairvoyance extraordinaire. Ainsi, j’offre mes services à des prix qui sortent de l’ordinaire !

VOYEZ la manifestation de la PROVIDENCE » en regardant de plus près le Nom de la ville de mon enfance » DORAT  » à l’envers, vous lirez  » TAROD« !

J’ai rencontré mon mari, M. Chapelle, il y a 41 ans, à Argenteuil. La racine du mot « argent » renvoie à Monnaie, mon nom de jeune fille.

Étrangement, l’adresse de mon compte bancaire est Basilique St Denis.
Ce qui nous ramène à la CHAPELLE, et à ses DONS qu’il est essentiel d’utiliser, car ils démontrent la PRÉSENCE de la DIVINITÉ !

Petit clin d’œil : il y a environ 10 ans, l’État a racheté l’établissement religieux La Providence au Dorat. Ils l’ont transformé en crèche !

Conclusion

J’ai décodé mon histoire pour montrer que rien n’est dû au hasard. Mon enfance a été très dure. Cependant, grâce ou à cause de mon passé, je suis qui je suis aujourd’hui. Maintenant, je souris car je me sens en équilibre avec les deux expressions.

Cela signifie que j’ai désactivé les blessures de mon passé.

Ma famille maternelle vient de Bretagne. Ils sont tous enterrés à Clohars-Carnoët. D’ailleurs, j’avoue avoir un faible pour les légendes bretonnes.